Texte, en écriture collective, lors d’une séance en comité de lecture 2.
Je suis toujours aussi impatient de la revoir, je suis toujours patient d’être là.
Je suis prête encore une fois à te supporter. Je ne veux pas te voir partir. Pour ne pas sentir mon coeur mourir .
Et t’oublier. Pouvoir avancer et se reconstruire. Je suis rapide, pas de patience, toujours hyper-actif. La patience n’est pas pour moi, c’est trop long d’attendre.
La patience est une vertu. Je n’ai aucune vertu. Mais pourtant la revoir me rend heureux. Et ne pas la revoir serait la meilleure solution.
La patience je l’ai des fois mais pas toujours. Mais pourquoi le voir s’il veut pas toujours. Mais moi je l’aime. Ha bon tu l’aimes mais elle est moche comme toi en fait. L’amour n’a pas de miroir, l’amour ne compte pas le physique.
Ce qui compte ce sont les sentiments honnêtes.Une bouffée de chaleur à chaque fois que je la revois, comme le premier jour.Si son bien-aimé s’éloigne, le coeur se meurt, c’est ça le véritable amour.Une pulsion incontrôlée, un sourire niais en pensant à elle, la fusion de nos corps avec nos esprits. le temps qui est figé quand je suis avec toi . Je ne me vois pas partager ça avec quelqu’un d’autre que toi. Je suis impatient de la revoir, pour lui dire tout cela ; j’appréhende , et je sais que ses paroles lui feront plus de mal que de bien. Je suis impatient de la revoir, pouvoir lui dire adieu. Je cours à l’aéroport pour la voir et essayer de lui dire de rester avec moi mais est-que j’y serai à temps ? Si je la ratais, je mourais. Mais il faut savoir saisir sa chance dans la vie. Car au final, quelle différence, que je lui dise adieu ou non, je ne la reverrai plus.
« You’re tearing me apart, Lisa »